La petite eau bleue

Quand on parle de petite eau bleue, ça vous évoque quoi? Un lagon? Une île paradisiaque? Un catalogue de tour-operator?

Et bien moi, ça me parle de mon quotidien.

Hélas, je ne travaille ni sur une île paradisiaque, ni pour un tour-operator. Ce dont je vais vous parler est nettement moins poétique que de se reveiller au bord d'une mer chaude et transparante, ou de remplir ses journées à envoyer des touristes partout sur la planète.

Je travaille pour une société privée, j'ai un travail assez gratifiant et des collègues plutôt sympas. Plutôt sympas, mais avec des niveaux d'hygiène assez disparates. Ca va du maniaque qui astique ses couverts et son verre avec une serviette en papier à celui qui ne se lave pas les mains en sortant des toilettes. Résultat parfois, des grosses traces de freinages sur la faillance. beurk.

Alors découvrir la petite eau bleue le matin quand on souleve le couvercle des toilettes, bein ça fait bien plaisir.

(On m'a affirmé que ce n'était pas forcément mieux dans les toilettes des filles.)

Le choix dans la date.

Deux informations capitales.
Le 25 mai est le "towel day", le jour de la serviette, en mémoire de Douglas Adams, auteur de l'indispensable "Guide Galactique" autrefois appelé "Guide du routard galactique" avant de se prendre un procès.

Sinon le 6 juin 2006, devrait être le jour de l'apocalypse puisqu'on sera le 6/6/6, c'est à dire le jour de la bête. Personnellement, je pense passer la journée allongé par terre avec un sac en papier sur la tête (en référence au premier paragraphe).

DON'T PANIC